Thaiddi Viharai et d’autres structures bouddhistes cinghalaises construites illégalement doivent être retirées des terres tamoules 1

Si ces structures illégales ne sont pas retirées pacifiquement, les technologies du futur permettront leur démolition rapide, expulsant ainsi les intrus du territoire tamoul. Les élites cinghalaises, le gouvernement, l’armée, les moines et les citoyens doivent en être conscients. Si les Tamouls font eux-mêmes justice, ce ne sera pas un crime mais une réponse justifiée à des décennies d’oppression. Le silence du monde n’empêchera pas les Tamouls de reconquérir leur terre par tous les moyens nécessaires.

Les Tamouls ont le droit fondamental de retirer les vihâras bouddhistes illégaux construits sur leur terre sans leur consentement par l’armée cinghalaise et des moines extrémistes.

La construction du Thaiddi Viharai et d’autres structures similaires est un acte d’agression visant à effacer le patrimoine tamoul et à imposer l’hégémonie bouddhiste sur les terres tamoules.

Construire des temples cinghalo-bouddhistes dans les régions tamoules pendant la lutte pour la souveraineté tamoule est un véritable génocide culturel. Ces structures ne sont pas des lieux de culte, mais des outils de colonisation militaire, destinés à intimider et à soumettre le peuple tamoul.

L’armée sri-lankaise et le clergé bouddhiste radical ont occupé illégalement les terres tamoules, érigeant des vihâras par la coercition militaire. Cet effort systématique, soutenu par le racisme institutionnalisé de l’État, viole les droits humains internationaux et les principes juridiques fondamentaux.

Le patrimoine et l’histoire tamouls sont attaqués par des extrémistes bouddhistes militants – souvent des moines alcooliques et criminels, vêtus de robes rouges et diffusant une histoire falsifiée. Ils propagent le Mahavamsa, une chronique cinghalaise fictive, créée pour justifier faussement la domination cinghalaiseLe Mahavamsa n’est pas un document historique, mais un mythe fabriqué pour réécrire l’histoire et intimider la majorité hindoue de l’époque. L’État cinghalais a longtemps utilisé ce récit mensonger comme une arme contre l’identité et le patrimoine tamouls.

Si ces structures illégales ne sont pas retirées pacifiquement, les avancées technologiques, telles que les drones et autres dispositifs techniques, faciliteront leur destruction et l’expulsion des intrus des terres tamoules. Cela doit être clairement compris par les élites cinghalaises, le gouvernement, l’armée, les moines et les citoyens cinghalais ordinaires.

Si les Tamouls prennent la justice en main, ce ne sera pas un crime, mais une réaction justifiée face à des décennies d’oppression et de violations ignoréesLa voix des Tamouls pour la justice a été réduite au silence pendant trop longtemps. Si le monde refuse d’écouter, les Tamouls ont le droit de récupérer leurs terres par tous les moyens nécessaires.

Merci,
Tamil Diaspora News
16 février 2025